Paris - Santorin
Samedi 18 octobre 2014. Décollage à 7h20 de Roissy sur Air France. Cela fait lever tôt... Mais tout se passe bien jusqu'à Athènes, où 
L'aéroport d'Athènesnous atterrissons à 11h30. La correspondance pour Santorin ne partant qu'à 16h15, cela nous laisse largement le temps de déjeuner dans l'aérogare, et de faire un tour à l'extérieur pour voir la banlieue d'Athènes.
L'embarquement pour Santorin sur Aegan Airlines est un peu plus mouvementé : Programmé sur la porte B15, il est reporté au dernier moment sur la porte B23. Gros mouvement de foule, et embarquement dans un bus qui nous amène à l'avion... en passant devant la porte B15. Arrivée sans autre problème à Santorin où nous prenons possession de la voiture de location et roulons vers l'hôtel, totalement éblouis par le soleil couchant juste en face dans les virages.
Nous nous installons à l'hôtel Artémis village (en bordure de la plage de Karteradou), où nous recevons un accueil des plus chaleureux, avec un sabir gréco-franco-anglais mais néanmoins compréhensible. Les chambres sont spacieuses bien que peu équipées (pas de sèche-cheveux, une savonnette maigrichonne pour 3), donnent sur la mer, et les tenanciers de l'hôtel sont très attentionnés. Le ciel est bleu, la mer est ... bleue, que demander de plus ?
Pour le dîner du soir, le tenancier nous recommande un restaurant proche, le "Captain Loizos". Nous nous y rendons donc, et pouvons déguster du poulpe grillé ou frit, de la moussaka, de la salade grecque et plein d'autres spécialités pour un prix très modique. Surprise, à la fin du repas, on nous amène une grosse platée de fromage blanc local, surmontée de fraises confites. Cadeau ! Nous apprendrons plus tard que c'est une tradition grecque.
Mais ce qui n'est pas traditionnel, c'est la tournée d'ouzo (anisette grecque) que nous offre le patron, ni la sérénade qui suit.
Un orchestre local s'installe en effet dans la salle à la fin du repas et nous joue des airs dont la sonorité est très orientale. Mais bien sûr, nous avons eu droit aussi au sirtaki et aux "enfants du Pirée"...
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