Samedi 24 novembre
Jaipur
Promenade en cyclo-pousse
Après la visite du City Palace est prévue
une visite de la ville en cyclo-pousse. Ces véhicules sont l'équivalent
de nos taxis parisiens, en beaucoup plus nombreux et moins chers. Leurs
conducteurs (et moteur!) sont parfois âgés, mais il est
peu probable que les retraites soient aussi avantageuses qu'en France.
A tel point que dans les côtes,
beaucoup d'entre nous ont pris pitié de leur "moteur" et
ont mis pied
à terre pour pousser l'engin.


Même les jeunes doivent parfois se mettre en danseuse

Se faufiler dans l'intense circulation demande une grande habitude.
Tous les moyens de transport se rencontrent : vélos, cyclo-pousses,
rickshaws motorisés, voitures, cars, chevaux, ânes...
et même parfois
des éléphants !


En Inde on roule à gauche : c'est donc bien le bus qui double les éléphants,
et non l'inverse...

Nous passons devant le fameux Palais des Vents. Nous y reviendrons
à pied un peu plus tard.
Promenade dans les rues de Jaipur
Après la balade en cyclo-pousse, nous avons
quartier libre pendant une petite heure pour parcourir la ville. Une
heure aller-retour ne permet pas d'aller bien loin, mais nous sommes
en centre ville et nous parcourons la grande avenue Jauhari bazar au
bout de laquelle se trouve le Palais des Vents. Les deux côtés
de la rue ne sont qu'une succession d'échoppes et de commerces
très variés, allant du marchand
de chaussures à celui de pierres précieuses.

Les marchands de légumes sont installés directement sur le trottoir

Marchands de babouches et de vêtements en tous genres

On voit circuler de drôles de choses dans les rues de Jaipur

Voilà qui n'est pas sans rappeler le voyage
en Chine !

Des chevaux de mariage en cours de préparation pour la cérémonie

Dans une échoppe, un tailleur de pierres précieuses

Et nous revoilà devant le Palais des Vents. Vu le peu de recul
et la circulation de la rue,
il est très difficile de le photographier de
face sans déformation.
Le même (presque) redressé après un peu de travail dans Photoshop.
Retour à l'hôtel
Le soir tombe, et nous rentrons à notre hôtel.
Le repas s'effectue dans la cour de l'hôtel, et nous avons droit à l'inévitable
orchestre typique et la danse folklorique (avec potiches).

Ce qui est dommage, c'est que le tambour couvre complètement le son
de l'harmonium.
La musique n'est donc pour nous qu'une séance de percussions.

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