Dimanche 18 novembre
Sam Dunes Camp
Sam Dunes
Le programme prévoit une
visite de Jaisalmer, puis une promenade à dos de chameau dans
le désert. Mais la veille au soir, notre guide nous fournit
le programme de la journée qui précise "Nuit sous
la tente". Nous somme vaguement inquiets, car le programme de
l'agence prévoit un hôtel à Jaisalmer.
Après le repas à Pokaran,
nous reprenons notre bus et, passant au pied de Jaisalmer dont la citadelle étincelle
au soleil couchant, nous continuons directement vers l'ouest, où nos
cartes indiquent... rien !
Une quarantaine de kilomètres
après Jaisalmer, notre bus tourne dans un chemin partant dans
le désert, et notre guide nous annonce qu'on arrive à l'hôtel !
Mais quand nous découvrons enfin "l'hôtel",
nous sommes à la fois surpris et enchantés. Voyez ci-dessous
l'allure du camp et des "tentes" :
On a connu des lits de camp moins confortables
On a rarement connu des tentes équipées d'une salle de
bain individuelle !
Seule la douche laisse un peu à désirer (le pot et le
bassin + le robinet d'eau froide)
Promenade à dos de chameau
En fait, les chameaux sont des dromadaires. Nous
n'avons en effet vu aucun chameau en Inde de tout notre séjour.
L'embarquement est épique. Heureusement Krishnendu connaît
bien son affaire et synchronise les chameliers pour éviter tout
incident. Nous voilà tous montés sur les bêtes,
après que certain(e)s - d'entre nous, pas des bêtes -
aient réussi à surmonter
leur appréhension (et le mot est faible).
Krishnendu a assuré le reportage photo de
la balade. En raison du nombre important de photos, seules quelques
photos générales sont présentées ici. L'ensemble
de ces clichés est disponible dans les pages "Toutes les
photos",
rubrique "Jaisalmer
: Promenade en chameau".
Le soleil se couche sur les dunes
Très belle photo de Krishnendu
Soirée à "l'hôtel"
Curieuse salle à manger de l'hôtel
: il y a bien les murs, avec des fenêtres et même une cheminée, mais
pas de toit ! La voute céleste
en tient lieu, et dans ce désert à l'abri de la pollution
elle est splendide. Nous avons encore droit à l'orchestre local
(mais cette fois avec guimbarde) et à la
danse traditionnelle (mais sans potiches).
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