Mercredi 18 mai
BOUKHARA (8)
Visite de l'usine de coton DAGRIS
L'Ouzbékistan est le deuxième producteur mondial de coton. Il doit cela aux plans soviétiques,
qui avaient décidé d'en faire une monoculture dans ce pays, avec les implications que l'on connaît
sur le niveau de la mer d'Aral. Notre camarade Richard, installé dans le pays depuis plusieurs années, assure
la direction de l'antenne de la société DAGRIS en Ouzbékistan. Cette société achète
le coton brut aux agriculteurs, le traite pour en séparer les divers conposants utilisables et les exporte vers
le reste du monde. Elle produit également les semences de coton. Il nous a donc fait visiter l'une des unités
de production de la société, située près de Boukhara.

L'unité de décorticage des graines

L'unité de production des semences

Richard nous explique le process de traitement du coton

Les sacs de coton prêts à être mis en palettes

Le hangar de stockage. La bourre de coton est emballée sous très forte pression

et il arrive que les emballages ne supportent pas cette pression. Cela nous permet de constater que ce coton se présente
un peu comme du coton cardé chirurgical

Photo promo devant les drapeaux français et ouzbek
Après-midi libre : retour aux coupoles marchandes
Notre guide nous ayant laissé libres après le déjeuner pris comme la veille dans la tchaïkhana du
complexe Liab-i-Haouz, nous repartons pour une balade tranquille dans la vieille ville et ses inévitables bazars.

Retour à l'atelier de tissage de soie, où en l'absence de foule, on peut faire des photos plus larges des métiers à tisser

et de leur production

Un enlumineur au travail

Les cavernes d'Ali-Baba ont un peu changé de nos jours...

mais on en trouve encore de très traditionnelles




En attendant les clients, les marchands font une partie d'échecs

Marc a revêtu un caftan de cérémonie, entièrement brodé de fils d'or. Il a tout du roi mage
(sauf le pantalon)
Danses folkloriques et présentation de mode
Le soir, nous retournons à la médersa Divanbegi déjà vue la veille pour y
assister à un repas agrémenté de danses folkloriques et d'une présentation de mode. Les deux
spectacles sont mélangés, offrant un intéressant contraste de costumes traditionnels et de tenues
beaucoup plus modernes. Les photos ci-dessous respectent ce mélange. A vous de distinguer les genres... (indice
: les danseuses sont toutes habillées de la même manière. Pas les mannequins).









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