Jour 5
Tafraoute - Gelmim - Plage Legzira
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Tafraoute

Le granit rose de Tafraoute... au lever du soleil. La couleur jaune de l'aurore n'a pas le charme de la couleur rose du crépuscule
(voir la fin de la page précédente...)

Les tapis de Tafraoute
Les guides touristiques préviennent qu'il est difficile de sortir de Tafraoute sans un tapis. Nous nous étions
juré ne pas avoir besoin de tapis... et nous repartons avec un "véritable tapis berbère"...
après une heure de palabre, dans lequel le marchandage ne se fait pas en dirhams, mais carrément en euros
! Quant à l'arrière boutique, on y trouve un terminal de carte bleue, Internet, téléphone cellulaire,
etc.

La "Maison Touareg"


Ca fait un peu caverne d'Ali-Baba

Achat de babouches berbères (à talons)

Le marchand d'épices du marché de Tafraoute

Le marchand de miel

Au départ de Taroudant, un caméléon nous dit "Au revoir"
Le col du Kerdous
Le descriptif de Royal Tours disait : "Après le petit-déjeuner, départ par la route de montagne
jusqu'au col du Kerdous et le village d'Ifrane-de-l'Anti-Atlas jusqu'à Bou-Izakan."
Le guide vert disait : "Après Tighmi, la route grimpe dans la montagne jusqu'au col
du Kerdous (1100 m d'altitude) contournant le piton rocheux sur lequel a été construit un hôtel dans
le style des kasbahs. L'endroit mérite une halte à plus d'un titre car la vue** que l'on a sur toute la
chaine de montagnes de l'Anti-Atlas et ses villages nichés dans les vallées (nombreux sentiers muletiers)
est vraiment superbe." (regardez sur la carte de la page d'accueil, le point de vue est signalé).
Helas ! 2 km avant le col, nous prenons une petite route à droite. Comme nous n'avions pas de carte routière,
nous ne nous en sommes pas aperçu tout de suite. Ensuite, il était trop tard pour faire demi-tour, le guide
nous assurant qu'il n'était pas prévu de passer par le col qui allait à Tiznit, ce qui n'était
pas notre destination du jour.
J'avoue que je ne comprends pas qu'on puisse passer si près d'un site reconnu et ne pas faire un petit détour
pour aller le voir. Si ce circuit n'est pas destiné à voir des paysages, à quoi bon faire ces centaines
de kilomètres ?

Sur la route de Guelmim, nous rencontrons un troupeau de dromadaires
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